Bonjour venez nous rejoindre sur le nouveau blog
Je suis heureux de vous présenter la sortie du livre : OENOTOURISME
Le métier de vigneron est en pleine mutation.
Hier producteur de raisins pour certains, éleveur et vinificateur pour d’autres, le vigneron est
aujourd’hui nécessairement un chef d’entreprise.
Cet ouvrage analyse et développe la notion d’œnotourisme (ou tourisme viticole) afin de montrer que chacun peut s’approprier une démarche marketing et les outils indispensables à
sa mise en œuvre pour créer et développer ses activités.
Il aborde successivement l’étude de marché du tourisme viticole et ses différents acteurs. Il propose également une méthode pour réfléchir et construire son projet (types de
consommateurs et perspectives). Il détaille ensuite les différents points qui permettent d’assurer un développement de sa stratégie d’entreprise (segmentation, cible, positionnement)
et comment élaborer son plan marketing (offre, prix, prospection, promotion). Il décrypte,
enfin, comment aménager son espace de vente et fidéliser sa clientèle.
Outil indispensable à tous les professionnels du secteur vitivinicole souhaitant développer leur activité d’œnotourisme, il s’adresse aussi aux étudiants en commercialisation et management de la filière vin.
Yohan Castaing est consultant manager du cabinet conseil en marketing du vin Alcyon Consulting à Bordeaux et co-auteur (avec Pierre Mora) du livre "bonnes pratiques en marketing du vin" aux Editions Dunod
Œnotourisme.
Mettez en valeur votre exploitation.
Collection : Pratiques Vitivinicoles
Prix : 30 euros. Nombre de pages : 224. Format : 170x240.
Disponible en librairies à partir du 7 mars 2007.
EAN 13: 9782100498130
Notre premier podcast vidéo sur WINE ECONOMIC REVIEW :
Christophe Palmowski, DIrecteur marketing des Vignerons Catalans, nous explique le lancement marketing du produit phare : FRUITE CATALAN
Le groupe vinicole du sud de la France acquiert la société Antoine Moueix Lebègue, réalisant un chiffre d'affaires de 10 millions d'euros avec 3 millions de bouteilles produites par an.
Cette société située à Saint Emilion, était placée en redressement judiciaire depuis quelques mois.
Les différents repreneurs n'ont pas réussi à redresser la structure, souhaitons à JeanJean de pouvoir y arriver.
Boire du vin rouge à haute dose est-il bon pour la santé? Oui, selon une étude américaine portant sur des souris obèses auxquelles on a administré de fortes doses de resvératrol, un extrait de vin rouge. Loin de réduire leur espérance de vie, l'expérience a permis aux rongeurs de vivre plus longtemps que prévu et, de surcroît, en bonne santé.
Pour certains experts, cette étude marque un tournant dans la recherche sur le vieillissement. A ceux déjà prêts à s'imbiber de vin rouge à des fins thérapeutiques, ils répondent toutefois que l'efficacité de la méthode reste encore à prouver sur les humains.
L'étude a été réalisée par la Harvard Medical School et le National Institute of Aging et est publiée jeudi sur le site Internet du magazine "Nature". Effectuée sur des souris obèses suivant un régime alimentaire gras, elle montre que l'absorption à hautes doses de resvératrol diminue l'apparition du diabète, de maladies du foie ou d'autres pathologies liées à la consommation de graisses.
Le resvératrol est une substance antibiotique produite par de nombreuses plantes. On la trouve notamment dans la vigne ainsi qu'à hautes doses dans les cacahuètes.
Les décès liés à des maladies dues à un régime alimentaire gras ont diminué de 31% chez les souris participant à l'étude. Les rongeurs concernés ont également vécu plus longtemps qu'ils n'auraient dû, et se sont révélés en aussi bonne santé que des souris "normales".
Les chercheurs vont maintenant tenter l'expérience sur les singes, mammifères les plus proches de l'homme. Mais, selon le Dr Richard Hodes, du National Institute on Aging, l'absorption de resvératrol pur est totalement déconseillé chez les humains, les recommandations de sécurité n'ayant pas encore été établies.
Le Dr David Sinclair, de la Harvard School of Medicine, souligne quant à lui que les souris ayant participé à l'expérience ont reçu des doses de resvératrol équivalentes à la consommation de 100 bouteilles de vin rouge par jour chez l'homme. De quoi décourager même les amateurs
Le blog est sur une nouvelle adresse : www.winemarketing.org/wordpress
May-Eliane de Lencquesaing ouvre un nouveau chapitre de la longue et belle histoire du Château Pichon-Longueville de Lalande Comtesse de Lalande en décidant de s’allier à la famille propriétaire du Champagne Louis Roederer. Grâce à cette alliance, Louis Roederer poursuit l’aventure en terres de Bordeaux entamée il y a un peu plus de dix ans à Saint Estèphe, par les acquisitions des Châteaux de Pez et Haut-Beauséjour. Le groupe familial champenois voit dans ce rapprochement avec le Château Pichon Longueville Comtesse de Lalande une opportunité majeure de réaffirmer sa foi dans l’exception bordelaise. Il enrichit aussi, grâce à Pichon et les brillants satellites que sont Bernadotte et Glenelly en Afrique du Sud, la collection de grands vins que constituent, autour de Louis Roederer, le Champagne Deutz, la Maison Delas Frères, le porto Adriano Ramos Pinto, les Domaines Ott sans oublier Roederer Estate et Scharffenberger en Californie.
Le vin français part à la reconquête du public
Après des années de passivité face à la concurrence des vins élevés en Australie, au Chili et dans le reste du monde, les viticulteurs français se sont décidés à faire quelques concessions pour rendre leur vin plus accessible au commun des mortels. A la grande satisfaction de la presse anglo-saxonne.
"Cette semaine, l'industrie viticole française lance ce qui pourrait être la plus grande campagne de labellisation de son histoire. Fini les distinctions régionales absconses qui égarent les non-connaisseurs ; fini le snobisme affiché, les vins français ont enfin décidé de devenir plus accessibles au simple consommateur", se réjouit The Observer. Cette année, les Français vont communiquer au Wine Show, qui se déroule du 26 au 29 octobre à Londres, en réquisitionnant un quart de l'exposition pour faire connaître "l'expérience française", où les consommateurs trouveront forcément leur bonheur.
L'année dernière, à la première édition de l'événement, "les Français n'avaient qu'un stand et étaient pratiquement invisibles". Or le Wine Show permet de réunir tous les grands critiques œnologues des magazines, les représentants des restaurants à la mode, un panel de 15 000 consommateurs qui goûteront les vins et donneront leur avis.
Le magazine américain Time se félicite également de la réaction des viticulteurs français, même si elle est tardive. Les producteurs de vin français n'ont pas su attraper à temps le train de la mondialisation et leurs ventes en ont été dramatiquement affectées, rappelle le journal. "Les producteurs australiens, néo-zélandais, californiens, sud-africains, chiliens ont lancé des campagnes publicitaires de masse pour promouvoir leurs vins sur toute la planète. En quelques années, ils ont augmenté la production, fait naître une nouvelle génération de consommateurs intéressée par des vins peu chers, fruités, avec des étiquettes faciles à décoder, et en conséquence ils ont gagné une large part du marché mondial du vin", explique le magazine. "Il y a dix ans, la France exportait trois fois plus de vin que tous les nouveaux producteurs réunis ; aujourd'hui, la France a vu ses ventes chuter de 15 %."
Changer sans perdre leur âme, c'est le défi des producteurs de vin français, notamment pour les vins de Bordeaux, auxquels le magazine américain a consacré une grande enquête. "La transformation du marché du vin est un cas d'école de l'impact de la mondialisation. Le meilleur endroit pour s'en rendre compte se trouve dans la plus grande région viticole française, et la plus prestigieuse, Bordeaux", assure le journal. Les producteurs de vins locaux cherchent maintenant à s'adapter le plus rapidement possible aux défis posés par la concurrence, et ce sans perdre le caractère exceptionnel des vins de Bordeaux. "Se battre contre les Australiens et les Californiens est une chose ; devenir de pâles imitateurs en est une autre", rappelle Time.
Les viticulteurs français consacrent leurs efforts à attirer davantage les consommateurs, avec une labellisation moins complexe, un marketing plus intelligent et des vins moins "snobs" aux yeux de la clientèle internationale. Le but est de réduire le nombre d'appellations et de faire le tri entre les châteaux. A la place, de nouvelles marques font leur apparition, beaucoup plus proches (d'esprit et de goût) des marques des nouveaux producteurs que des bordeaux traditionnels.
Certains viticulteurs pensent à introduire des techniques qu'ils ont longtemps méprisées, comme celle de mettre des copeaux de bois dans le vin pour le faire vieillir à moindre coût qu'en fûts de chêne. Les producteurs de la région, jusqu'à maintenant contraints de fabriquer exclusivement des vins AOC (appellation d'origine contrôlée), vont être autorisés à faire un vin de table, le vin de pays de l'Atlantique. "Ce qui a provoqué ces changements, c'est la conviction que le vin de Bordeaux possède toujours les qualités nécessaires pour être le roi des vins", résume Time.
source : courrier international
It as soon risen the newest hotel Marqués De Riscal planned by the architect Frank O.Gehry, and commissioned by owners of the wine company, but it is already one world-wide icon of the wine therapy.
It is found little more than an hour from Bilbao and the architect is the same of the Guggenheim’s museum of Madrid and its style demonstrates it, even if the purposes of the two palaces are much different.
The hotel offers 43 suites, with Internet wireless, TV LCD and baths in marble, with exclusives services like luxury’s restaurant and tourist centre.
It’s crossed from a wine cellar air-conditioned, accommodating bottles that are very expensive.
At the first floor we find the well-being centre, the institute of wine-therapy Caudalie (the third after Château Smith Haut Lafittee close to Bordeaux and the Saint Stefano Belbo, in Piedmont).
The unusual joint stock Company takes advantage of the property anti-oxidants of the screw and the grape (a cure of two days costs from 246 to 346 Euros).
The wine package of the "City of the wine" then offers pleasant eno-gastronomy intervals with the restaurant of Francis Paniego, ex big chef of the restaurant Echaurren, the first restaurant of Rioja’s region to being honoured of one Michelin star.
For the lovers of the binomial wine-architecture, the region of Elciego allows to savour also other interesting places. Like as an example the Ysios wine cellar to Laguardia, designed by Santiago Calatrava and the Lopez de Heredia di Haro, work of the Iraqi-Londoner Zaha Hadid.
The hotel is visible from all the roads that carry to Elciego, village in hill little far away an hour from Bilbao, to the feet of the Sierra Cantabrica and it’s a project for the development of luxury wine tourism similar to the Californian Napa Valley. href="http://winemarketing.blogs.com/.shared/image.html?/photos/uncategorized/image_5.png" onclick="window.open(this.href, '_blank', 'width=250,height=179,scrollbars=no,resizable=no,toolbar=no,directories=no,location=no,menubar=no,status=no,left=0,top=0'); return false">
Plus de la moitié des restaurants belges pratique des prix beaucoup trop élevés pour les vins qui figurent à leur carte. C'est ce qui resort d'une enquête menée dans 821 restaurants belges.
Ainsi 52 % de nos restaurants multiplient par plus de trois le prix d'achat de leurs vins. Les vins du patron sont, quant à eux, souvent proposés jusqu'à huit fois plus cher que le prix d'achat.
L'enquête a été réalisée par Alain Bloeykens, l'organisateur de la bourse aux vins. Pour ce faire, il a analysé la carte de vins de 821 établissements belges en les répertoriant en quatre catégories différentes: cuisine traditionnelle de France, cuisine internationale, brasseries/bistrots et bars à vins.
Cette enquête a été réalisée auprès de restaurants répartis dans tout le pays: 60 % en Flandre, 30 % en Wallonie et 10 % à Bruxelles. L'un de ces établissements n'a notamment pas hésité à fixer le prix de vente de ses vins 16 fois plus cher que le prix d'achat. En outre, il ressort de cette enquête que les restaurants belges figurent en tête des restautrants européens en ce qui concerne la qualité et la variété des vins proposés.
source : 7/7.be
La Commission européenne va octroyer 450 millions d'euros à la restructuration de vignobles dans les pays de l'UE pour la campagne 2006-2007.
L'Espagne, avec 159 millions d'euros, suivie de la France avec 111 millions et de l'Italie avec 100 millions seront, comme l'an dernier, les principaux bénéficiaires de ces aides qui sont distribuées au total à 14 pays producteurs de vin dans l'UE.
L'objectif de ces subventions pour la restructuration et la reconversion des vignobles, qui existent depuis 1999, est d'améliorer la qualité du vin, grâce à diverses mesures, comme la reconversion variétale, la réimplantation de vignobles et l'amélioration des techniques de gestion du vignoble.
« L'amélioration de la qualité du vin que nous produisons doit être une priorité absolue si nous voulons relever le défi que constitue la concurrence des producteurs du Nouveau Monde », déclare la commissaire à l'Agriculture Mariann Fischer Boel. « Ce programme de restructuration a été très utile depuis 1999, mais il est évident que cela ne suffit pas. C'est pourquoi nous avons lancé un débat sur une réforme en profondeur de l'organisation commune du marché vitivinicole », a-t-elle ajouté.
Depuis 1999, la Commission a versé au total près de 2,6 milliards d'euros pour la reconversion des vignobles dans l'UE.
Source : AFP
La consommation de vin aux Etats-Unis a progressé de 2,1% en 2005 pour atteindre 273,7 millions de caisses de neuf litres, selon l’édition 2006 du Adams Wine Handbook, qui souligne qu’il s’agit de la première hausse depuis plus de dix ans et même d’un record en terme de caisses. Par habitant, la consommation de vin s’établit selon l’ouvrage à 2,19 gallons (8,29 L) par Américain, son plus haut niveau depuis 1988. Cette hausse a surtout profité aux vins tranquilles et pétillants. Les sodas à base de vin, les vins de dessert, les vins doux ou d'apéritifs ont reculé en volume. Les importations ont joué un rôle moteur dans cette croissance : elles ont progressé de 5,6% l’année dernière alors que les ventes de vins américains ont stagné à 0,9%. Les cinq premières marques étrangères de vins ont bondi de 11,3% : toujours leader, l’Australien Yellow Tail a gagné 15,4% en vendant un million de caisses supplémentaires. Les importations de vins d’Italie, du Chili, d’Espagne, d’Argentine ont cru de façon substantielle mais “en comparaison, les importations françaises n’enregistrent qu’une maigre hausse de 2,4%”, indique le Adams Wine Handbook.
"Le vin aujourd'hui continue à devenir plus qu’une part essentielle de la vie américaine, avec de plus en plus de personnes l'appréciant au cours des repas, en tant que boisson sociale et simplement au moment de se détendre chez eux", note Charles Forman, vice président d'Adams Beverage group et éditeur de l’ouvrage. Les Américains mangent plus souvent au restaurant et commandent du vin en accompagnement. Le Adams Wine Handbook évoque également l’effet toujours présent du French paradox et des études scientifiques vin et santé, ainsi que la vogue des étiquettes de vins à l’imagerie décontractée, faisant appel par exemple à un kangourou (Yellow Tail) ou un pingouin (Little Penguin de Southcorp).
Source : Vitisphère
a secrétaire nationale du PCF Marie-George Buffet, en visite en Languedoc-Roussillon, a plaidé jeudi soir à Sète (Hérault) pour l’organisation d’un "grand débat national sur l’avenir de la viticulture" et la tenue d’"un véritable Grenelle de la viticulture".
"J’ai proposé (aux viticulteurs) de lancer un appel public, non partisan, ouvert à tous les parlementaires, à tous les élus, à tous les syndicalistes pour exiger à l’Assemblée nationale un grand débat sur l’avenir de la viticulture et obtenir un véritable Grenelle de la viticulture", a lancé Mme Buffet devant plus d’un millier de personnes.
Il s’agit de "dégager des solutions qui permettent (aux viticulteurs) de vivre de leur travail, de faire en sorte que la viticulture soit dans notre pays quelque chose qui porte réellement notre patrimoine", a ajouté Mme Buffet, très applaudie.
Affirmant avoir senti "l’urgence de battre la droite" chez les vignerons mais aussi chez les jeunes de Perpignan, les gaziers et électriciens de Nîmes, les hospitaliers ou les parents d’élèves rencontrés, Mme Buffet a estimé que le Languedoc-Roussillon, cette "région rebelle, qui a fait gagner le non de gauche" lors du référendum sur le traité de constitution européen, pouvait "faire que les luttes soient portées jusqu’au gouvernement de la France".
"Partout, j’ai rencontré la même colère, la même envie de se battre pour retrouver ses droits, sa dignité", a ajouté Mme Buffet.
Il n'y aurait pas des élections bientôt en France ?????
Déplacement des régions viticoles vers le nord, vendanges précoces, délocalisation des AOC, bouleversement des cépages : le monde du vin va devoir s’adapter au réchauffement climatique, préviennent les scientifiques.
Cette tendance au réchauffement, « pour le moment, c’est presque une bonne chose », déclare à l’AFP Bernard Séguin, chercheur à l’Institut national agronomique (INRA) d’Avignon. « L’augmentation de la température se traduit par des vins plus sucrés, plus alcoolisés, moins acides, lors des vendanges », explique-t-il, rappelant que « dans les années froides, on avait des vins moins alcoolisés, il fallait rajouter du sucre pour avoir un certain degré d’alcool ».
Donc une année chaude, c’est plutôt une « bonne année » et c’est la tendance depuis une vingtaine d’années, indique M. Séguin. Mais il ajoute aussitôt un bémol : « C’est bon parce qu’on est dans la gamme d’un ou deux degrés de plu,s mais quand vous allez au-delà, vous ne savez plus trop ce qui peut arriver. »
Les experts des Nations unies sur le climat tablent sur une augmentation de 1,4 degré au mieux et 5,8 degrés au pire de la température moyenne mondiale d’ici à 2100. Ce réchauffement devrait entraîner « une progression significative des zones favorables à la culture de la vigne vers le nord », selon l’Observatoire national des effets du réchauffement climatique (Onerc). Du XIe au XIIIe siècle, les vignes étaient courantes dans le sud de l’Angleterre avant de disparaître sous le « petit âge glaciaire » (1550-1850).
Le phénomène inverse semble en passe de se reproduire. « Qu’il y ait des vignes en Normandie, en Grande-Bretagne ou aux Pays-Bas, à la fin du siècle, c’est tout à fait envisageable », estime M. Séguin. De même, « on pourra se permettre de cultiver dans le nord des cépages qu’on trouve actuellement dans le sud de la France », ajoute-il.
Une augmentation de 1 degré de la température moyenne d’ici à 2035, tel que prévu selon un scénario des experts de l’ONU, correspondrait à un déplacement des régions viticoles de 180 km en moyenne vers le nord. Cette remontée des cultures vers le nord laisse planer la menace d’une délocalisation des Appellations d’origine contrôlée (AOC) qui sont pourtant attachées à un sol, un climat et une culture locale. En France, par exemple, chaque terroir avec son AOC va se retrouver avec des conditions qui vont énormément changer. « Seront-ils capables de faire le même produit ? Avec 1 ou 2 degrés de plus, peut-être, mais au-delà, la question est posée », estime M. Séguin. Car la croissance de la vigne et la qualité du vin sont étroitement liées à la météo locale. Ainsi, la sécheresse ralentit la croissance des plants si elle se produit avant la maturation des grappes et diminue le stockage des sucres, si elle sévit pendant la maturation.
La canicule de l’été 2003 donne un aperçu du futur : « En 2003, la récolte (en France) a été inférieure de 17 % à la moyenne, presque uniquement pour des raisons climatiques », selon l’Onerc.
Paradoxalement, le réchauffement, en accélérant les dates de floraison, augmente les risques de destruction au cours des périodes de gel printanier, tant redoutées des viticulteurs.
Le changement climatique a déjà provoqué en France une avancée des vendanges de trois semaines, voire un mois dans certaines régions, depuis les années 1990 par rapport aux moyennes observées en 1945. « Un tel niveau de précocité n’avait jamais été observé depuis 500 ans », souligne l’Onerc.
Source : L'Orient - Le Jour
A l'occasion de la 2e édition du Grand prix de la presse du vin en restauration, l'Association de la presse du vin (APV) et des partenaires (représentants des interprofessions et des distributeurs) ont choisi de réaliser la toute première enquête sur le vin en restauration et ses consommateurs. Ceci, afin de mieux appréhender les pratiques de consommation et de commercialisation du vin au restaurant.
De juin à septembre 2006, près de 700 établissements, de différentes catégories (prestige, tradition, brasseries, bars à vin et nouveaux concepts) se sont impliqués dans la démarche. L'analyse de l'enquête a été effectuée par le service Statistiques de l'Ecole nationale supérieure des télécommunications (ENST) dirigée par Bernard Burtschy, journaliste spécialisé et vice-président de l'APV. Les premiers résultats étaient annoncés ce jeudi au cours d'une conférence de presse.
Bien que l'échantillon ne soit pas représentatif de l'ensemble de la restauration française, et qu'il ne permette donc pas d'en tirer des conclusions générales en terme de stratégie vin en restauration, ce sondage a le mérite d'exister, de cerner et de quantifier quelques problèmes du secteur. "L'un des buts de l'APV est de promouvoir le vin là où il se vend et se consomme, notamment en restauration", a expliqué Barthélémy, président de l'APV. 60% des établissements ayant fournis des réponses exploitables affichent ainsi une vraie stratégie vin. Il en ressort également que 64% des établissements ont une personne dédiée au vin, 29% un sommelier et 16% un sommelier faisant partie d'une association.
86 restaurants, soit 13% des répondants n'ont qu'une seule région à leur carte, sachant que dans ce cas là, c'est le Languedoc-Roussillon qui arrive en tête (27%). Pour les établissements ayant plusieurs régions à leur carte, c'est le Bordeaux qui est le plus référencé mais c'est la Loire qui est la plus vendue. Sans surprise, ce sont les ventes de digestifs qui baissent le plus (79% des restaurants), tandis que les baisses de ventes de vins les plus sensibles ne sont enregistrées que dans 4% des établissements. Ces baisses sont les plus fortes sur les déjeuners (70%). Par type de repas, ce sont les repas d'affaires qui subissent la plus forte érosion: 50% des établissements enregistrent une baisse des commandes, pour 38% qui enregistrent une stabilité et seulement 12% qui constatent une hausse. En revanche, les repas entre amis connaissent une sensible progression (37% des réponses) pour 51% stables et 12% en baisse.
Selon les restaurateurs, le premier frein à la consommation reste les contrôles routiers (93%), devant les prix. Côté tarifs, ils sont 65% à pratiquer des coefficients et 13% des marges fixes (22% de non réponse). Des résultats à apprécier bien sûr en sachant qu'il s'agit de déclaratif : la moyenne des coefficients se situerait ainsi à 3,17 (pour un écart type de 0,60) et celles des marges fixes à 14,11€...
Par ailleurs 97% des établissements déclarent proposer du vin au verre pour un prix moyen de 5,26€ (écart type de 2,63) et 41% affichent moins de 5 références sur cette proposition pour 35% offrant 5 à 10 références.
Ce premier sondage sur le vin au restaurant et les consommateurs devrait encore livrer quelques chiffres intéressants dans les mois qui viennent (notamment sur les réseaux d'achats, les stocks ou les contenants...) ont annoncé les responsable de l'APV. Il comportait en effet plus de 40 questions dont la primeur de certaines réponses est réservée aux partenaires.
En ces périodes de foires aux vins, la qualité n’est pas toujours au rendez-vous, alors comment guider son choix ?
La qualité d’un vin est déterminée par de nombreux facteurs : son cépage (cabernet, merlot, négrette, pinot…), sa région d’origine, l’ensoleillement qui variera d’une année à l’autre, la nature du sol… Mais faire du bon vin est surtout lié au talent d’un propriétaire ou d’un récoltant qui saura mélanger les cépages avec talent, il sentira le bon moment de la cueillette et adoptera une méthode de vinification, dernier cri ou parfois à l’ancienne, la mieux adaptée pour la naissance d’un grand cru.
L’Esprit Vin a soigneusement sélectionné des vins produits par ces amoureux du terroir. Pour preuve, la majorité d’entre eux ont été médaillés d’or ou d’argent à un concours et ont été particulièrement bien soulignés dans un guide tel Hachette, Parker, Hubert ou Gambero Rosso.
Autre caractéristique qui marque bien notre intérêt pour la qualité et la satisfaction de nos clients ; l’Esprit Vin invite chaque mois une trentaine de clients à noter certains vins. Ces dégustations à l’aveugle tablent également sur une appréciation et un rapport qualité/prix. Les vins qui n’atteignent pas un 16/20 disparaissent de notre sélection. « Nous le remarquons bien », souligne Sandra De Sousa Barros (responsable du service clientèle), « plus de 90% de nos clients se fient le plus à l’opinion d’amis ou membres de la famille pour guider leurs achats en vins. Nous avons simplement décidé d’élargir le cercle des conseillers ». Les membres de ‘L’Esprit Vin’ sont effectivement tenu informés de ces résultats dans une infolettre envoyée chaque mois. En outre, tout un chacun à la faculté de leur soumettre avis, découvertes et suggestions.
Lors de ces dégustations, nous proposons également d’autres produits de bouche tels fromages affinés, foies gras, salaisons et chocolats artisanaux
Les produits cosmétiques aux vertus issues des pépins de raisins, on connaissait. Les produits cosmétiques comestibles... pff déjà vu. Les cosmétiques aux vertus tout droit sorties du chocolat... tout nouveau et bientôt dépassé!!
Eh bien dans cette recrudescence d'idées toujours plus innovantes ou farfelues pour nous inventer des soins... le vin met le paquet... histoire du dernier grand cru californien!!
La famille Modavi, cela ne nous dit peut-être rien en tant que petits frenchies. Modavi est une famille vigneronne de la "Napa Valley" en Californie... Eh oui à force de baigner dans le jus bordelais on en oublie que les autres pays fond eux aussi du vin!! Bref, la famille Modavi nous a concocté des soins pour homme et pour femmes qui seront vendus exclusivement chez Bergdorf Goodman à New York City, à partir de mi-octobre. Basée sur les bénéficesdes anti-oxydants que l'on trouve dans le raisin fermenté - tiens ca me rappelle quelquechose - la ligne de prestige appellée Meritage libère des actifs anti-âge. Les formules ont été élaborées à Lyon - oui Lyon, France ca sauve l'honneur quand même - sont composées d'extraits vin fermenté, raisin, thé vert, olive, graines de soja,...
Le produit star sera la crème anti-âge "Le Grand Cru" (en français) vendu $175 (le pot de 60ml) disponible pour homme et pour femme... les autres produits: lotion Vine Fresh SPF30 ($48.50), nettoyant purifiant Moscato ($38.50),...
La ligne Davi restera vendue exclusivement chez Bergdorf Goodman pendant 6 mois. Après la ligne pourra être éventuellement disponible dans 37 des magasins du Neiman Marcus Group (propriétaire de Bergdorf Goodman).
Site : http://uneouverturesurlemonde.blogspirit.com